Une retraite active, c’est le cas de le dire !


A Siel Bleu, nous aimons bien aller à l’encontre des idées reçues. Qui a dit que la retraite signifiait que l’on s’arrêtait de travailler ? Bénédicte et Laurence sont deux Sielbleusiennes à la retraite. Pourtant, elles souhaitent absolument continuer à travailler à Siel Bleu. « Je vais travailler avec plaisir », nous dit Bénédicte, « Siel Bleu a professionnalisé ma retraite ». Quant à Laurence, elle fait ce métier pour être avec ceux qu’elle nomme affectueusement « [ses] Anciens » : « Avant, je travaillais dans un cabinet de kinésithérapie. Si j’ai fait ce métier, c’était pour travailler avec des personnes âgées ». Laurence a été recrutée par Siel Bleu en 2012, alors qu’elle travaillait en parallèle dans une association de sport scolaire. L’année dernière, elle a pris sa retraite dans cette association, mais tenait beaucoup à continuer à mobiliser « ses Anciens ». Et elle fait passer les exercices grâce à l’activité préférée des participants : elle doit préparer une « blagounette » pour chaque cours. Et ça marche : « j’ai maintenant tout un cahier et les personnes viennent parce que l’ambiance est sous le signe du soleil et de la bonne humeur ».

 

Pour Bénédicte, la vie sielbleusienne a commencé à la retraite justement ! Dipômée en Sciences de l’Education, elle connaissait Siel Bleu car elle avait pu assister aux interventions dans la structure médico-sociale dans laquelle elle travaillait. Lorsqu’elle a pris sa retraite, le premier projet qu’elle a mené a été de rejoindre la faculté de STAPS en troisième année, en faisant une VAE : « Je dois tout à Siel Bleu, c’était mon objectif retraite ! ». Et d’ajouter : « Et j’adore l’ambiance en STAPS, les gens sont très sympathiques ». Elle précise, qu’à la fac, tous les « jeunes » voulaient travailler avec elle, et qu’à Siel Bleu, elle a retrouvé cette sympathie et cette écoute de la part de ses collègues : « C’est une super équipe qui m’a formée ! ». Bénédicte est donc une jeune salariée retraitée.

 

Et nous ne saurions conclure cet article sans une petite blague de Laurence : « J’ai trois poussins et je ne veux en garder que deux, que dois-je faire ? ». Réflexion le temps de l’heure d’activité… Et la réponse tombe : « J’en pousse un ».

 

Rédaction : Lucile Erb


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